Caïn est de retour ce soir sur France 2. Une saison 3 à ne pas manquer!
CBS redécouvre un vieux concept français, pour reconquérir son audience. Faire participer le public à la résolution d’une enquête policière. Première expérience avec Hawaii 5.0. "Bon Dieu mais c’est bien sûr !" par
4 janvier 2013 
« Tout ce qu’il faut pour résoudre ce crime, c’est vous ! Pour la première fois, l’Amérique votera pour le tueur en direct. Trois suspects, trois fins, et un tueur à choisir. Votre vote, votre fin, dans un épisode spécial d’Hawaii 5.0, à l’antenne le lundi 14 janvier. Uniquement sur CBS. »
En désespoir de cause, face à la baisse généralisée d’audience marquée par les séries à la télévision et pour lutter contre la désertification du "petit" écran au profit des autres, générée par le nouveau mode de consommation des spectateurs, qui fuient vers leurs ordinateurs et autres tablettes, CBS innove.
Ou plutôt, s’inspirant d’une expérience aussi vieille que la télévision à vrai dire, qui a l’aube des séries policières, vit la France (Cocorico) donner au public un rôle à jouer dans la résolution d’une affaire, le network va inviter son audience à s’exprimer. Mieux, lui donner la possibilité de choisir son coupable.
Les plus anciens d’entre nous se rappellent avec délice l’ORTF et ces Cinq Dernières Minutes durant lesquelles deux spectateurs (à l’origine sur le plateau, pendant le tournage en direct) aidaient le commissaire Bourrel à résoudre l’énigme de la soirée.
La formule dura peu en ces temps préhistoriques de l’Audio-visuel. Trop lourd à gérer dans une époque ou les téléphones étaient encore à cadran et les standards vite saturés.
Inviter les téléspectateurs à participer à l’enquête était pourtant une idée formidable, qui devrait séduire la nouvelle génération, celle des fans prompts à commenter leurs séries préférées sur les forums et les sites internet. Habituée à partager sa vision alternative de l’histoire, à coup de fanfics et de débats enflammés.
Encore faudra-t-il que le public suive bel et bien l’épisode au jour de sa diffusion. Habitué qu’il est à composer son propre programme en différé.
Souhaitons à CBS d’avoir trouvé dans les cartons poussiéreux des archives TV, la bonne recette pour rallier son audience... Une reprise à surveiller !
C’est un grand bonheur d’apprendre que France 2 a commandé la suite des aventures de "l’odieux flic à roulettes". Tournage prévu ce printemps à Marseille. 
Quelle joie pour moi d’apprendre que mon "chouchou à roulettes" va reprendre du service sur France 2 en 2013. En tous cas, que huit nouveaux épisodes, dont le tournage débute au printemps prochain à Marseille, ont été commandés par la chaîne à DEMD productions.
Le personnage de Caïn qui a déboulé l’automne dernier sur France 2, est en effet une petite merveille d’invention dans le PAF, qui a rarement osé mettre en avant un tel caractère. Iconoclaste et dérangeant, Fred Caïn fait partie de ces héros qui exaspèrent et qu’on "adore détester". Le genre de type qui se croit tout permis et qui ose tout.
Poussé, motivé, plus que quiconque en raison de son handicap. Hargneux et en colère, Caïn dépasse les limites, au delà de l’imaginable. Un personnage haut en couleur " qui a à peu près toutes les libertés, y compris des libertés qui rendent la série pas tout à fait réaliste. Mais peu importe puisqu’on est immédiatement en empathie avec ce type. Il est jubilatoire, on aimerait tous avoir son aisance." explique son créateur Bertrand Arthuys ." Maître de l’espace".
De fait il m’a séduite au premier coup d’oeil. Et il semble qu’une moyenne de 2,8 millions de fidèles se soit comme moi prise au jeu les vendredi soirs... comme quoi.
Ce sont "ses papas" qui en parlent le mieux. Je vous laisse donc découvrir le "sacripant" en leur compagnie et vous invite chaleureusement, si vous êtes passés à côté du phénomène à le retrouver en vidéo et DVD, pour vous faire votre idée.
Attention, vous pourriez bien devenir accroc !
Depuis quelques jours le monde entier connaît les intentions de vote d’Homer Simpson. Toujours plus étonnante, la chaîne très conservatrice Fox, diffuse cette vidéo promo d’un futur épisode de la caustique série animée, dans laquelle on voit Homer Simpson réfléchir dans l’isoloir pour qui il va bien pouvoir voter ... après l’énumération de fallacieuses raisons pour ne pas voter Obama, il se décide pour son challenger ... et a la douloureuse expérience de voir ainsi apparaître la feuille d’impôt du dit candidat.
Ce qui ne va pas être des plus réjouissant pour notre Homer, indigné, qui pour la peine se retrouve en Chine à fabriquer des drapeaux américains.
Une pépite à partager ! On n’y résiste pas.
par
source : France2
Comme sur des roulettes ! A toute blinde !
Il débarque sur France 2 le Vendredi 5 Octobre à 20h45
« Nouveau ! Attention, flic méchant ! Caïn dégoupille son humour, sa colère et sa soif de vivre. Il n’hésite pas à se servir de son handicap pour outrepasser les convenances (souvent) et la loi (parfois). Découvrez sur le site de ce nouveau polar : bande-annonce, extraits, bonus et, dès le 28 septembre, le 1er épisode intégral en avant-première ! »
Caïn, c’est mon coup de cœur de l’automne et peut-être bien même de l’année entière, Caïn est ce genre de personnage qu’on adore détester capable de tenir la dragée haute aux héros américains.
Un personnage à découvrir absolument à partir du 5 octobre et à suivre !
Personnellement, je suis conquise...
« Salut ! Moi, c’est le Capitaine Caïn. Enfin, Caïn quoi. J’ai deux roues au cul, mais j’adore les bipèdes. Entrer dans leur vie, entrer dans leur tête, entrer dans leur cœur. Surtout quand ils ont commis un crime de sang… »
« Officier de police criminelle en fauteuil… Caïn n’est pas pour autant un pur esprit, sans corps et tout en matière grise. C’est au contraire un homme d’instinct et de sensualité, qui réagit aux expressions, aux gestes, qui a besoin de sentir et de « toucher » les victimes, les témoins ou les suspects… Il aime se confronter aux gens et explorer leurs failles, leurs secrets, leur vécu, leurs émotions… Mais s’il peut se montrer d’une grande empathie, il a aussi sa sauvagerie : il aime provoquer, pousser à bout, forcer les gens à montrer ce qu’ils ont dans le ventre et le coeur, et, pour y arriver, il n’hésite pas à faire des entorses parfois graves aux conventions sociales et aux procédures policières. Au risque de se mettre en danger. Borderline, Caïn l’a toujours été. Cinq ans plus tôt, en poursuivant un malfrat avec lequel il jouait avec le feu – ennemi le jour, ami la nuit – il a été victime d’un terrible accident de moto. Une année d’hospitalisation et de rééducation, mais surtout ce verdict définitif : jamais plus il ne retrouverait l’usage de ses jambes. »
Une présentation alléchante s’il en est …Ne passez pas à côté, une série à ne pas manquer !
et dans l'ordre de ma préférence, mes deux chouchous font partie du
et n'oublions pas Jack O'Neill ! 
qui fut aussi Nicholas Fallin ... et tous les autres.
sont ils pas mignons ???
Deux magnifiques acteurs de télévision qui s'adonnent à bien d'autres activités!
Le premier est très actif sur le plan caritatif rdanderson.com
tandis que le second en bon petit diable lui a emboîté le pas il y a longtemps et se consacre bien plus souvent au cinéma.
Caïn, flic en chaise roulante, a une sérieuse tendance à profiter de son handicap pour passer au dessus des lois et des convenances. Il mène l’enquête en binôme avec Lucie qui doit faire face à son cynisme et son humour très très noir… Une volonté de renouveau du polar à la française, emmené tambour battant par le charme et la sensibilité de Bruno Debrandt. Prix 2012 de la meilleure série au Festival de Luchon.
Un personnage d’un genre nouveau pour la France, mais irrémédiablement comparé à Greg House, pour son comportement licencieux et ambigu. Décidément, on a bien du mal à s’éloigner du modèle américain, même si Bruno Debrandt se défend de s’être inspiré du célèbre « Docteur es-amoralité », avouant presque contrit, ne pas faire partie des "séries addicts", conviés à la présentation de la série le samedi 21 avril, au Festival Séries Mania.
« Je ne connaissais pas Dr House avant qu’on me compare à lui avec autant de force. Du coup je suis allé regarder… » nous a confié le comédien qui a laissé Linda Chabert de DEMD Productions expliquer, qu’en l’occurrence, si l’inspiration est venue d’outre-Atlantique, c’est plutôt en hommage au personnage d’une série bien plus ancienne, L’Homme de Fer, à la base de la réflexion sur le projet.
Il est vrai qu’on sort vite du contexte du programme des années soixante, dont le héros, rappelons le pour mémoire, doit son état à une tentative de meurtre, en bon et loyal serviteur de la loi.
Le désagréable et néanmoins sympathique Caïn, a lui « fait son propre malheur » avoue-t-il, en provoquant l’accident qui l’a cloué dans son fauteuil. Un sombre personnage, au passé aussi mystérieux que sulfureux au début de la série, mais qui se dévoilera au fil des épisodes nous a-t-on promis. Et les zakouskis sont alléchants.
Le personnage accroche, c’est évident. C’est écrit et tourné avec talent. Même si, évidemment tout cela reste bien familier et de l’ordre du « déjà vu ». On est dans une série policière. Impossible d’échapper aux ressorts du genre, articulés ici avec subtilité, il faut le reconnaître.
Pour ma part, je me réjouis de voir depuis quelques mois, France Télévision s’interroger et mettre un peu en lumière le « monde du handicap ». En présentant des documentaires extrêmement bien faits sur France 4, dans le cadre des Séries du Réel. Plein d’émotion et d’optimisme sur France 3 dansThalassa, Vague d’Espoir.
Revenir sur le sujet en fiction est encore plus fort. Je trouve. Oser montrer qu’au fond, ici l’infirmité de notre héros dépasse de loin sa mobilité physique est d’une intelligence profonde. Non seulement le garçon s’autorise ce que bien des valides n’oseraient certainement pas, mais en plus, son handicap devient parfois un atout dans ses enquêtes. Quand « on ne lui met pas des bâtons dans les roues »… si j’ose dire.
L’humour grinçant, noir même, avec lequel le personnage traite son invalidité la fait passer au second plan. Relègue le fauteuil roulant au rang d’accessoire, et le handicap en général comme élément du décor. C’est une petite révolution. Ah oui ? « Ces gens-là » peuvent avoir une vie normale… ou exceptionnelle. Le personnage, en l’occurrence était déjà hors du commun « avant ». Et son état ne l’a apparemment fait changer que d’un point de vue pratique.
Encore que, sa mobilité et son autonomie en font moins un handicapé physique qu’un cas psychologique.
J’adore le style du bonhomme ! « Un paraplégique qui prend les valides à contre-pied ». De quoi piquer la curiosité, non ?
Exemple ?
Le garçon est du genre à chiper la dernière place « ordinaire » sur un parking, devant un automobiliste lambda médusé. Et quoi ? Il lui donne sa carte pour qu’il puisse utiliser la place réservée… J’adore.
J’en passe des meilleures. Si vous voulez en savoir plus il faudra être au rendez vous de la case polar du vendredi soir sur France 2, à l’automne.
Une série qui montre la vitalité de la création française, ça roule ! A voir.
« Quand j’étais môme, j’adorais raconter des histoires … je rêvais d’en écrire … et je l’ai fait. »
Un crédo qu’on entend souvent chez les « showrunners » (Auxquels Orange Cinéma Séries consacre une série de documentaires). Scénaristes, « story tellers » (raconteurs d’histoires) avant tout. Et c’est un vrai bonheur pour les amoureux de la plume et de l’image comme moi de les entendre partager avec générosité leurs expériences. Quand on a la chance de pouvoir les rencontrer comme au Festival Séries Mania, la semaine dernière, au cours de master classes passionnantes.
Véritables moteurs de création, les showrunners insufflent leur talent à chaque étape de la fabrication des séries. Terence Winter, Gideon Raff et Tony Ayres ont honoré de leur présence Séries Mania,
qui met en ligne ces rencontres d’exception.
Le point commun à tous ces créateurs ? La Passion. La passion pour les mots, pour leurs personnages, pour les histoires.
Souvent dotés d’une forte expérience dans des domaines tous différents, ces scénaristes qui pour la plupart « galèrent » pendant des années avant de voir un jour leur « bébé » naître à l’écran, nous ont fait connaître tout l’art de devenir le « papa d’une série à succès » …
En fait, pas de secret : En gros … faut s’accrocher. Persévérer. Croire en sa bonne étoile et … Bosser.
Qu’il aient fait des études de cinéma, qu’ils soient issus du sérail, ou qu’ils soient venus d’horizons différents, comme Terence Winter avocat de formation, la passion de l’image les a conduits à travailler sur plusieurs séries, documentaires, films … souvent partagés entre télévision et cinéma, ils arrivent un jour à imposer leur propre style, l’histoire qui leur tient à cœur. Et là, quand le public suit, c’est le grand bonheur.
L’enthousiasme avec lequel ils racontent leurs parcours laisse à penser que leur vie est un « vrai rêve » … entendez, qu’il y aurait la plupart du temps de quoi écrire un film ! Ou un série. Tant ces « aventuriers de l’imaginaire » savent vous transporter dans leurs souvenirs comme dans leurs fictions.
Ce fut un délice de les écouter se raconter et expliquer la « mécanique » … de quoi éveiller des vocations. Et même si « tout n’est pas rose » dans leurs récits, ça donne furieusement envie !
Terence Winter est devenu scénariste en travaillant sur plusieurs séries télévisées avant de rejoindre l’équipe de David Chase sur Les Sopranos. Il en écrit 25 épisodes et devient producteur exécutif sur les deux dernières saisons. En 2010, HBO lui donne la possibilité de créer sa propre série Boardwalk Empire, récompensée par de nombreux prix dont les Golden Globes 2010 de la meilleure série et du meilleur acteur (Steve Buscemi).
D’origine chinoise, Tony Ayres se partage entre le cinéma- il a écrit et réalisé plusieurs documentaires et deux longs métrages de fiction (Walking on Water- 2002 et The Home Song Stories-2006) et la télévision où il a rapidement été reconnu comme l’un des meilleurs scénaristes australiens. Il est aujourd’hui coproducteur exécutif de The Staits et créateur de The Slap, récompensé en tant que meilleure série australienne de l’année.
Après des études de cinéma à Tel Aviv et Los Angeles, Gideon Raff réalise deux longs métrages pour le cinéma : le thriller The Killing Floor en 2007 puis le film d’horreur Train en 2008. Il crée en 2010 la série israélienne Hatufim/ Prisonners of War dont il réalise plusieurs épisodes, avant de participer en 2011 à son adaptation américaine Homeland, en tant que co scénariste et coproducteur exécutif.
L’avantage de Festivals comme Séries Mania est d’offrir au public la possibilité de s’intéresser de près aux coulisses de ce qui fait si souvent son bonheur au quotidien.
Ce que l’équipe du forum des images a parfaitement compris et réalisé en organisant ces rencontres avec des personnages d’exception.
Vivement la saison 4 !
Le magazine spécialiste de l’actualité des Séries nous invite à un petit voyage "revival",
dans les années 80.
source : Unification, Tournon
Un bail que j’avais pas écumé les kiosques, je sens que le mois prochain je vais me ruer vers mon marchand de journaux !
L’excellent magazine SériesTV nous annonce qu’il fait des petits et nous présente SériesTVculte, un magazine sur les séries qui ont marqué l’histoire de la télévision.
Disponible le 1er février 2012, ce « spin-off » arbore un premier sommaire des plus alléchants :
Interview Sarah Michelle Gellar Les séries de vampires, c’était mieux avant ?
Dossier Spécial MAGNUM GOLDORAK Véga avait-il une chance ?
Et aussi Ciné : Les films adaptés des séries peuvent-ils être bons ? Duel de cougars : Mona vs Jules Cobb Les frères Bogdanov analysent les séries SF, Les Cités d’or reviennent, Sauvés par le Gong.
Et surtout (ce qui va me faire précipiter) retour sur La carrière de RICHARD DEAN ANDERSON (Bon anniversaire mon Général) et sur un épisode culte de STAR TREK
Et enfin : Séries Policières : On se marrait mieux dans les années 80 !
Si ça c’est pas un programme pour les geeks !
Source : Médiamétrie
La nouvelle édition du rapport Scripted Series Report, portant sur la dernière saison, de septembre 2010 à juin 2011, analyse les audiences et les dernières tendances en termes de séries dans 11 territoires. Lorène Nowicki, Responsable de l’étude chez Eurodata TV Worldwide, souligne que « Si la première décennie du 21ème siècle a été marquée par la montée en puissance des séries américaines, la deuxième voit le retour en force des fictions locales dans de nombreux pays et parallèlement, le succès grandissant des séries anglaises ». Les chiffres donnant les séries américaines les plus populaires jusqu’à il y a quelques mois encore sont en train de modifier le paysage audiovisuel de chaque pays, qui semble dorénavant s’intéresser un peu plus à sa production locale. Alors que l’année dernière près de 20% des meilleures séries étaient américaines, ce chiffre passe à 13% cette année. Le Royaume Uni tire son épingle du jeu en se plaçant parmi les meilleures importations.
Des titres comme Dowton Abbey, se place en 2ème position des séries les plus regardées en Australie, 3ème en Suède, et 11ème en Espagne. Midsomer Murders s’exporte avec succès étant la plus regardée en Suède et au 4ème rang du palmarès en Australie.
L’Amérique n’est plus la Mecque du petit écran. Même si c’est toujours de ce pays de cocagne que nous arrivent les plus gros cartons !
NCIS, diffusée sur CBS fait aux Etats-Unis 19,7 millions de téléspectateurs en moyenne et les jeunes adultes plébiscitent toujours les productions US.
Dr House fait partie des 15 séries qu’ils regardent le plus dans 8 territoires sur les 11 étudiés, Desperate Housewives dans 6 territoires, et Crimial Minds, 5 territoires.
Les flics ont la côte !
Mais ce que préfère le public, partout dans le monde, ce sont les séries policières qui raflent régulièrement une grosse part d’audience. (36% des séries les plus regardées tous pays confondus.)
Les plus accrocs aux enquêtes sont les Français, les Allemands, les Canadiens et bien entendu, les Américains. Des pays où 9 des 15 meilleures séries sont des séries d’investigation.
Les titres qui connaissent le plus gros succès : Criminal Minds, CSI et The Mentalist. Cette dernière est d’ailleurs la plus regardée en France. En Allemagne, la série locale Tatort (ARD) tient le haut du palmarès.
Les comédies combattent la crise.
Aux USA et en Australie, le nombre de comédies est supérieur à celui des séries d’investigation dans le classement des 15 séries les plus regardées.
En Italie c’est la comédie locale I Cesaroni (Canale 5) qui est la série la plus regardée des jeunes adultes. La Suède voit la comédie Solsidan (TV4) remporter la 1ère place du classement des 15 meilleures fictions. Au Royaume-Uni, The Inbetweeners, diffusée sur E4, déclinaison de Channel 4 ciblant les jeunes adultes, est la 4ème fiction la plus regardée.
Quant aux séries dramatiques, elles représentent 22% des séries les plus regardées tous pays confondus. En Turquie ce sont ces séries qui obtiennent les meilleurs scores comme As the Time Goes By diffusé sur Kanal D.
Les réseaux sociaux conscients du marché potentiel.
Les séries investissent de plus en plus les médias sociaux afin d’impliquer le téléspectateur à tous les niveaux. La série Haven (Syfy) se prolonge sur Twitter où les personnages existants et futurs ont leur propre compte Twitter. Autre exemple la nouvelle série de Showtime Homeland se décline en jeu en ligne ayant pour but de débloquer des épisodes inédits.
Lorène Nowicki souligne que « les producteurs et diffuseurs de séries doivent nécessairement prendre en compte le développement des nouveaux modes de consommation et élaborer des stratégies transmédias permettant l’implication et la fidélisation du téléspectateur ».
Dans un contexte de fragmentation croissante de l’audience, du développement rapide de nouvelles formes de consommation des séries, et face à la mondialisation des formats, la seconde édition du Scripted Series Report par Eurodata TV Worldwide fait l’état des lieux des séries télévisées dans 11 territoires : Allemagne, Australie, Canada, Espagne, Etats-Unis, France, Italie, Québec, Royaume-Uni, Suède et Turquie.
Quelle est la place de la fiction dans la stratégie et la programmation des chaînes ? Quel est le degré de réussite des productions locales face à l’afflux de productions américaines de qualité ? Quels sont les formats et les sujets qui ont le plus de succès tant au niveau local qu’à l’international ? Autant de points abordés en détail dans le Scripted Series Report.
Un tableau plutôt précis de la consommation télévisuelle du public mondial, qui offre un outil de travail efficace à tous les différents intervenants et … très instructif pour le spectateur lambda, si tant est qu’il s’intéresse aux rouages de l’industrie qu’il fait fonctionner en regardant ses héros favoris vivre saison après saison leurs palpitantes aventures.
Captivant.
"Ne rien posséder et poutant tout avoir ..." c'est une équation difficile à résoudre dans notre société de consommation. Seule peut-être l'imagination peut apporter la solution... J'ai une proposition : modifions l'orthographe du second terme: "à voir". Voilà qui donne des perspectives ...
Ne Rien posséder et pourtant Tout à Voir ...
Conteurs d'histoires et spectateurs travaillent ensemble à chercher la réponse ... Bienvenue.
Que vous soyez cinéastes professionnels ou amateurs, auteurs ou lecteurs, simples spectateurs ou "créateurs" (entre guillements car nous sommes tous souvent plus créatifs que nous ne voulons l'admettre...) je vous invite à chercher avec moi la réponse.
Que nous la trouvions ou pas, n'a pas vraiment d'importance, ce qui compte c'est le nombre de pistes que nous aurons à explorer ...
Cheminons ensemble voulez-vous, c'est si bon de faire des rencontres ... et pour ceux qui auraient des doutes, si si, vous êtes bien sur un blog de cinéphile ... Disons ... sur un blog cinéphilosophique... Quand la magie de l'image et de l'imaginaire se combinent . Ah, le ciné ... c'est aussi un bon moyen de philosopher ... il n'y a qu'à se promener sur les forums ... moi, ça m'éclate !
A bientôt, domibleue.
PS : le premier qui me demande ce que je fume ...
Bonne Lecture. Et n'hésitez pas à laisser des commentaires ! A bientôt.
Attention Travaux
Vous voudez bien excuser l'apect un peu sommaire de certains articles, amputés de leurs illustrations au moment de la mutation entre Allociné et Overblog. Cela va me prendre encore un peu de temps pour tout relire et remédier au problème. Recherche des photos disparues (ou pose de nouvelles...)
En attendant, je sous souhaite tout de même une bonne lecture
!
"Si la Réalité dépasse
parfois le Fiction, c'est que le Destin a plus d'imagination que nous ..."
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