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12 novembre 2011 6 12 /11 /novembre /2011 20:02

Contre les tenants d’un pouvoir dont les principes ne valent pas grand chose ... un pamphlet, plein de courage.

 

Source : Unification

 


  Malheureusement pour certains, c’est bien plus de balles qui les ont atteints. En ce jour si particulier. En cet archipel merveilleux transformé en îlot de douleur. Page de l’histoire de France de triste mémoire. Où l’éthique a été foulée au pied par les tenants du pouvoir.

Sous le feu nourri des intérêts particuliers, les victimes des magouilles politiques et autres « arrangements entre amis », ne seront pas les seuls à apprécier, je l’espère, la beauté de cette œuvre qui, je viens le répéter aujourd’hui pour que vous ne la manquiez surtout pas, donne du sens à l’industrie du film.

Ne vous y trompez pas, j’aime infiniment le cinéma pour son aspect divertissant et ludique. Mais je l’aime aussi et surtout quand il nous permet de voir ça ! Un film captivant et plein d’Humanité. Qui ose. Qui tance juste ce qu’il faut pour que le reproche soit bien compris comme une leçon et non comme un vague relent de revanche. Il me réconcilie avec les hommes, parce qu’il montre qu’il existe des êtres en ce monde capables d’avoir encore des principes.

 

 

 

 

Sur le fond, il rend hommage au livre dont il tire une partie de l’inspiration, La Morale et l’Action de Philippe Legorjus, et grâce au renfort d’une documentation fournie et sérieuse, il renseigne, enseigne et prête à la réflexion. Sur la forme, je vous rassure, il remplit avantageusement son rôle cinématographique. C’est un film épique, aux qualités photographiques et visuelles impeccables. Au traitement harmonieux entre musique et son naturel. Du vrai, du bon cinéma.

Ce que j’aimerais voir ce film rejoindre la liste des Grands Classiques. Ce serait mérité.

 

 

Sortie en salles le 16 novembre. Allez voir !

 

 

                        

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12 novembre 2011 6 12 /11 /novembre /2011 20:00

Une œuvre magistrale, à classer dans les meilleurs titres du genre, utile et magnifique. Ne manquez ce film sous aucun prétexte !

 

 

Source : Unification

Sortie cinéma : 16 novembre 2011

 

 

Synopsis :
Avril 1988, Île d’Ouvéa, Nouvelle-Calédonie. 30 gendarmes retenus en otage par un groupe d’indépendantistes Kanak. 300 militaires envoyés depuis la France pour rétablir l’ordre. 2 hommes face à face : Philippe Legorjus, capitaine du GIGN et Alphonse Dianou, chef des preneurs d’otages. À travers des valeurs communes, ils vont tenter de faire triompher le dialogue. Mais en pleine période d’élection présidentielle, lorsque les enjeux sont politiques, l’ordre n’est pas toujours dicté par la morale...

 

 

Ce qu’on en pense : Attention Chef d’œuvre !

 

C’est la deuxième fois cette année que je sors d’une projection toute tremblante. Sonnée, secouée, presque déboussolée. Evidemment, c’est la deuxième fois que le sujet, et la manière dont il est traité, me touchent de près.

 

 

Après Super 8 et mon adolescence retrouvée, me voici confrontée aux doutes et questionnements de mes années de jeune adulte, qui refusait à l’époque de « gober » l’intox des journaux télé, mais qui pourtant se demandait en son for intérieur … « Mais qu’est-ce qu’ils éprouvent en ce moment, ces gars-là ? Dont tout le monde se fout ! »

 

Je remercie Mathieu Kassovitz d’y avoir répondu, mais je constate avec amertume, que la question est toujours d’actualité. Que nombre de nos compatriotes affrontent encore aujourd’hui des situations éprouvantes, voire dangereuses, dans de nombreuses parties du monde, sans que nos dirigeants sachent se mettre d’accord pour les soulager de leur peine. Ce qui fait, encore aujourd’hui, de son film, un film courageux.

 

Un film engagé certes, mais un film avant tout. La qualité cinématographique de cette œuvre est indéniable. Kassovitz, il sait faire. C’est un très bon cinéaste. Les images, la musique, l’ensemble des effets, tout est bon. Les comédiens sont tous d’une crédibilité à faire frissonner. Pas de grosse tête d’affiche. De bons comédiens, solides, à l’interprétation sobre et impeccable.

C’est ce qui me surprend le plus. Là où j’attendais un film plus sanglant et violent, dans la lignée de la carrière plutôt « brutale » de Kassovitz, je trouve une chronique cinglante et réaliste, relatant un évènement dont la République Française n’a certainement pas à s’honorer. Sanglant et violent, tout de même, un peu, le film est pourtant loin des Rivières Pourpres ou de la Haine, qui ont marqué la carrière de Kassovitz du sceau du sang et de la révolte.

 

C’est ici un homme apaisé par la paternité et l’âge venant, qui a livré un travail de longue haleine. Le film lui aura pris plus de dix ans de sa vie. Le projet a mûri en lui depuis qu’il y a treize ans, son père lui a fait lire « Enquête sur Ouvéa » qui racontait minute par minute les évènements.

« Je savais qu’il y avait une matière formidable et que le scénario était virtuellement écrit dans le compte rendu de ces dix jours » … relate le réalisateur, « … il y avait assurément l’architecture d’un film dramatique ».

Une architecture parfaitement maîtrisée, habillée par les soins d’une équipe parfaitement documentée et investie d’un sentiment de justice, à la fois pour le peuple Kanak et pour les hommes venus de métropole, avec pour certains les meilleures intentions.

 

Un vrai film de guerre, s’il en est, tourné dans un cadre extraordinaire, avec des prises de vue et des cadrages dignes d’un maître. Et même si le ballet des hélicos est moins impressionnant que dans d’autres films, il a la force d’évocation nécessaire. Une sobriété spectaculaire. Encore une fois, le propos est courageux, à la limite pamphlétaire et toujours utile : « Alors qu’on se trouve sur un territoire national à régler des affaires internes … des hommes mènent une guerre, lasse, et perpétuelle, contre la connerie humaine et le cynisme des ‘milieux autorisés’ … des intérêts particuliers, qui oublient trop souvent l’intérêt des peuples … et des individus, des ‘êtres humains’ broyés dans leurs combines. »

 

 

 

Une œuvre magistrale, à classer dans les meilleurs titres du genre, aux côtés d’Apocalypse Now et les Jardins de Pierre du même Francis Ford Coppola. Ou encore du formidable Taxi pour Tobrouk de Denys de la Patellière. Un film sur les hommes, un film paradoxe, sur le combat armé et la recherche de la Paix. Un film fantastique au sens qu’il nous plonge dans un quotidien surréaliste, que bon nombre de gens vivent encore, ici et ailleurs, pour leur malheur. Puisse ce film les rappeler au souvenir, bon ou mauvais, de « ceux qui prennent les décisions », c’est ce que je souhaite. Même si je ne me fais pas trop d’illusions … sont-ils tout simplement capables de comprendre ? … En tous cas, c’est dit.

Utile et magnifique. Ne manquez ce film sous aucun prétexte !

 



- Durée du film : 2h16
- Réalisateur : Mathieu Kassovitz
- Scénariste : Mathieu Kassovitz, Pierre Geller, Benoît Jaubert, avec la participation de Serge Frydman d’après le livre de Philippe Legorjus La Morale et l’Action
- Acteurs : Mathieu Kassovitz, Iabe Lapacas, Malik Zidi, Alexandre Steiger, Sylvie Testud et Philippe Torreton
- Directeur photo : Marc Koninckx
- Décors : Giuseppe Ponturo
- Costumes : Agnès Beziers
- Producteur : Christophe Rossignon et Philip Boëffard pour Nord Ouest Production, Studio 37, UGC et France 2 Cinéma
- Distributeur : UGC Distribution

ON EN PARLE


- Lien vers site officiel du film
- Lien vers fiche allociné.fr
- Lien vers fiche imdb.fr

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11 novembre 2006 6 11 /11 /novembre /2006 22:19

         Nord-Ouest Production / Photo J.C. Lother

Nord-Ouest Production / Photo J.C. Lother          Affiche américaine.

une petite lueur ...



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11 novembre 2006 6 11 /11 /novembre /2006 22:10
A voir ... Kirk Douglas. Ciné Classic

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19 août 2006 6 19 /08 /août /2006 23:41
1969 en Virginie.
 Dans le cimetière d'Arlington, immense "jardin de pierre", Jackie Willow est inhumé avec quinze de ses camarades. Le sergent Hazard, présent à la cérémonie, retrace l'histoire personnelle de ce soldat qu'il a jadis chaperonné. Parti pour le Vietnam la tête pleine d'idéaux, le naïf Willow s'aperçoit avec désespoir que cette guerre n'aurait jamais dû avoir lieu.

Comment un guerrier aspire à la Paix... comment ceux qui le jugent se mettent à réfléchir ...

Magnifique.



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19 août 2006 6 19 /08 /août /2006 23:13

 

La guerre n'est jamais facile à vivre, surtout quand on travaille dans un hôpital militaire mobile pendant la guerre de Corée. Pourtant, un groupe de chirurgiens et d'infirmières prend les choses avec humour, semant la pagaille dès qu'une occasion se présente. (Allociné)



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19 août 2006 6 19 /08 /août /2006 23:11

M.A.S.H  

De jeunes chirurgiens antimilitaristes aimant l'alcool et les femmes se retrouvent en pleine guerre de Corée à l'hôpital militaire mobile où ils sèment la pagaille. (Allociné)

Elliot Goul et Donald Sutherland, irresistibles !



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19 août 2006 6 19 /08 /août /2006 23:06

La comédie est vite venue à la rescousse. Faire rire avec ce genre de sujet, qui l'eût cru ?  Et pourtant, quelques uns des meilleurs films connus, sont des films de guerre ... et des comédies.

Au Palmarès des films français pendant de nombreuses années:

La Grande Vadrouille

.Collection Christophe L.    Bourvil. René Chateau

avec deux monstres sacrés De Funès et Bourvil ...



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19 août 2006 6 19 /08 /août /2006 22:46

Le film qui personnellement m’a le plus touchée … le mot choquée ne serait pas trop fort, est un film de guerre peut-être oublié, parce que « pas vraiment spectaculaire », mais selon moi horrifiant …  le plus dur, le plus impressionnant  de tous les films de guerre que j’ai vus.

 

Johnny got his gun (Johnny s’en va-t-en guerre)  de Dalton Trumbo.

L’histoire d’un jeune homme de vingt ans, durant la première guerre mondiale.  Déchiqueté par une mine ou une grenade, je ne sais plus, réduit « à l’état de morceau de viande » … qui n’a plus ni bras, ni jambe, ni … visage … et survit dans un monde fantasmatique … Hallucinant récit écrit par Dalton Trumbo dans la fièvre des années de crise, après une des guerres  les plus meurtrières de tous les temps et à l’aube de l’une des plus décisives pour l’avenir de l’humanité. Le livre paraîtra en septembre 1939. C’est le texte le plus insoutenable que j’ai lu sur le sujet.

Un livre unique, le seul ayant à ma connaissance atteint cette limite, qui connaîtra évidement, un destin tout différent de celui d’un « chef d’œuvre ordinaire » …

Considéré, utilisé, censuré, interdit, sont les adjectifs qui résument le mieux la carrière de cette « arme de pacifiste ». Etat qui confinera  bientôt à celui de Traitre, dans une Amérique bouleversée, pour longtemps. Qui ne lui pardonnera pas son engagement pour la paix, incapable de digérer cette sorte de réquisitoire contre les fléaux qu’elle-même génère …

Après avoir subi les foudres du MacCartisme et été mis au ban de la société ,  Trumbo retrouvera son honneur et un travail de scénariste. Hollywood finit par le reprendre en son sein mais personne n’osera jamais mettre en scène cet  épouvantable  spectacle.

C’est en 1970, trente ans après l’avoir créée, que Dalton Trumbo donne le premier coup de manivelle. En 71, c’est le choc. En pleine guerre du Viet-Nam, il remet ça ! Le film sort sous les huées des uns et les bravos des pacifistes … au-delà de la politique c’est un magnifique  plaidoyer pour la dignité humaine. Au-delà de la mort, c’est une description de l’indescriptible … le mot chef d’œuvre est faible, âmes sensibles s’abstenir … quant aux autres … ceux qui déclarent des guerres, surtout, à voir absolument.



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19 août 2006 6 19 /08 /août /2006 22:38

 

La souffrance et la mort, c’est pas la joie !

Pourtant, ces moments les plus difficiles de la vie ont inspiré à de nombreux cinéastes des images sublimes. Attention, je ne dis pas « de belles images ». Je dis des images fortes, puissantes, parfois insoutenables. Sublime … du latin sublimis, « haut », destiné à élever l’esprit …

La Guerre par exemple, est le saviez vous un sujet très prisé du public, et pour cause, cela semble être l’occupation principale des hommes, depuis la nuit des temps …

Surexploitée à l’écran, la guerre ? En tous cas, cinéma et télévision regorgent d’images sur la question. Mais toutes ces histoires,  empruntées à la grande Histoire, servent-elles pour autant de leçon ? Pédagogiques, les films de guerre ?

En tous cas, ça rapporte ! Les producteurs ne s’y trompent pas : exorciser les démons est un commerce florissant. (y a qu’à voir les films d’horreur, autre valeur sûre).

Les auteurs quant à eux s’en servent souvent comme toile de fond pour exalter des sentiments tels que le courage, la compassion, le don de soi. Ou dénoncer une humanité encore trop souvent à la merci de ses plus bas instincts. Qu’ils rapportent des faits authentiques, qu’ils servent de décor, de point de départ à une intrigue policière ou romantique, les films de guerre offrent une palette riche de sentiments et de comportements … amènent parfois, c’est vrai à réfléchir sur de grandes questions, éthiques, historiques, sociales …

 

Quelques exemples de ces films qui, au-delà de l’action, des explosions, des larmes et cris qui nous fascinent, à notre corps défendant pour les plus pacifistes d’entre nous, ont apporté à mon sens un peu plus qu’un simple spectacle …

 

 

En attendant, avec impatience, le prochain film de Clint Eastwood, Flags of our fathers   adaptation du roman de James Bradley , Flags of our Fathers : Heroes of Iwo Jima. Livre qui retrace l'histoire de six soldats ayant participé à la sanglante bataille d'Iwo Jima en 1945, épisode incontournable la Seconde Guerre Mondiale. Originalité du projet, et beau geste à mon avis, Flags of our Fathers relate la bataille à travers le point de vue américain et sera suivi, dans un soucis d'impartialité, d’un second film, Red Sun Black Sand, montrant cette fois le point de vue des Japonais.  

                      DreamWorks Pictures

Clint Eastwood (photo de tournage). DreamWorks Pictures   Clint Eastwood (réalisateur) Jesse Bradford (photo de tournage). DreamWorks Pictures

 

Le 25/10/2006 à 17:16
What a damned good job, Clint ! (Quel putain de sacré bon film!) ai-je envie de dire en sortant de cette salle. Pourquoi vous livrer ainsi ma réaction à chaud? Parce que ce genre de film prend aux tripes, ou n'a aucun effet. J'en connais qui n'y verront qu'un "film de guerre" de plus dans la longue liste des plus ou moins bons hommages aux combattants, tous morts inutilement la plupart du temps ... Après l'Upercut "Million Dollar Baby" on se demandait où Eastwood allait encore pouvoir frapper pour faire mal. Ce type qui a été longtemps une "figure d'Hollywood", qui incarne à merveille le "Rêve Américain", vient de "remettre les pendules à l'heure" en démystifiant l'image du Héros dans ce magnifique pays de la Liberté qu'est l'Amérique,tout en lui rendant hommage. Il dénonce à merveille l'ambiguïté d'une humanité composée d'individus prêts à l'ultime sacrifice manipulés par une "frange cynique et dévastatrice" (encore au pouvoir dans de nombreux pays actuellement). Et démontre avec un talent effrayant le pourquoi des guerres continuelles et fratricides que se livre sans cesse à elle même une espèce, qui si elle n'y prend garde, va se mettre tout prochainement en voie de disparition. La reconstitution est tout simplement hallucinante. L'esthétique, la mise en scène, la musique, en vrac tous les éléments, sont là pour faire un chef-d'oeuvre. Mais mieux que ça, Easwood nous ramène en arrière, presque à l'époque, où certains ont osé espérer que c'était "bel et bien la dernière, cette guerre". On aurait tant aimé que le film sorte à ce moment-là . Mais est-ce que ça aurait changé grand chose ? Pas plus qu'aujourd'hui. Malheureusement, le talent ne suffit pas à faire réfléchir les politiques. Lequel déjà a dit :" La guerre est une chose trop sérieuse pour la confier aux militaires." ? Clint, répond lui,à sa manière, qu'il faut bien quelques soldats pourtant pour faire durer la Paix, quand ils seront parvenus à la faire triompher.Fort réussi. J'ai hâte de voir la suite. Domibleue

  Affiche française. Warner Bros. France                  Affiche américaine. Warner Bros. 



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  • : La Vie Rêvee de Domibleue
  • : "Ne rien posséder et pourtant tout avoir ..." c'est une équation difficile à résoudre dans notre société de consommation. "Si la Réalité dépasse parfois le Fiction, c'est que le Destin a plus d'imagination que nous ..."
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Equation Philosophique

"Ne rien posséder et poutant tout avoir ..." c'est une équation difficile à résoudre dans notre société de consommation. Seule peut-être l'imagination peut apporter la solution...  J'ai une proposition : modifions l'orthographe du second terme: "à voir". Voilà qui donne des perspectives ...

Ne Rien posséder et pourtant Tout à Voir ...

Conteurs d'histoires et spectateurs travaillent ensemble à chercher la réponse ... Bienvenue.

Que vous soyez cinéastes professionnels ou amateurs, auteurs ou lecteurs, simples spectateurs ou "créateurs" (entre guillements car nous sommes tous souvent plus créatifs que nous ne voulons l'admettre...) je vous invite à chercher avec moi la réponse.

Que nous la trouvions ou pas, n'a pas vraiment d'importance, ce qui compte c'est le nombre de pistes que nous aurons à explorer ...

Cheminons ensemble voulez-vous, c'est si bon de faire des rencontres ... et pour ceux qui auraient des doutes, si si, vous êtes bien sur un blog de cinéphile ... Disons ... sur un blog cinéphilosophique... Quand la magie de l'image et de l'imaginaire se combinent . Ah, le ciné  ... c'est aussi un bon moyen de philosopher ... il n'y a qu'à se promener sur les forums ... moi, ça m'éclate !

A bientôt, domibleue.

PS : le premier qui me demande ce que je fume ...

 

Bonne Lecture. Et n'hésitez pas à laisser des commentaires ! A bientôt.

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                       En attendant, je sous souhaite tout de même une bonne lecture !

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