Ilikecinema.com se présente comme " un site de programmation communautaire et de ventes de places de cinéma."

Il propose aux internautes des séances à programmer à la demande dans un large catalogue de films et de salles indépendants partout en France. Destiné à un large public, il fonctionne avec des outils simples et intuitifs permettant de créer sa séance en 4 clics.

Mode d’emploi :

1- Je choisis mon film

dans un catalogue de plus de 200 films récents, cultes ou jeunes publics. Choisir mon film, c’est le bon film à proximité : une nouveauté que j’ai ratée, des films récents à découvrir sur grand écran, des films générationnels ou communautaires à partager, des avants premières. Pour me distraire en famille ou entre amis, réunir mes communautés, fêter un événement, un anniversaire.

2- Je choisis ma salle

proche de chez moi, qui me propose des séances à programmer en soirée et/ou le week end. J’initie une séance ou je rejoins une séance déjà existante. Les salles partenaires me proposent toujours une qualité d’accueil et de projections irréprochables.

3- Je crée ma séance

en préachetant ma place en ligne. Elle est alors proposée à tous les ciné-likers, - et les amis que je choisis -, sur le cinémur du site, par mail ou réseaux sociaux. Pour le prix d’un simple billet de cinéma, ma séance en compétition est publique, ouverte à tous. Je peux inviter des amis, je ne suis pas obligé : c’est le site qui se charge de remplir la salle.

4- Ma séance est validée

dès qu’un nombre suffisant de spectateurs a rejoint ma séance en compétition. Elle passe au programme officiel du cinéma concerné. Je reçois mon billet. Et j’y vais. Sinon, pas de problème, mon préachat de place est automatiquement annulé et je ne suis pas débité. Je peux rejoindre une autre séance à la demande validée ou en compétition, ou recommencer à en créer.

Présentée lors du Téléthon en décembre dernier, la formule est intéressante. Et conviviale.

A suivre...

Plus d’information sur le site et sur Facebook

C’est au sortir de la projection d’un film sublime qui n’avait pas besoin de la 3D pour avoir du relief, que m’a prise l’envie ce mardi 22 novembre, de pousser la porte de la boutique Sonystore avenue Georges V. Histoire de répondre à l’invitation lancée un peu partout dans le métro parisien, via des affiches télécran, de venir tester le fameux visiocasque 3D, le Sony Cinéma 39, dernier fleuron de l’équipementier audiovisuel ; réputé capable de nous transporter plus loin que la Science Fiction nous permet de l’imaginer.

Mouais … Est-ce l’accueil, plutôt glacial (un genre, pour boutique de luxe ?) par des « men in black » des moins chaleureux ? La difficulté de trouver des renseignements ? Je ne sais pas. Je me débrouille toute seule pour tester l’engin. BOF.

A trois postes différents …BOF. BOF. BOF …

Debout à l’étage, ou (mal) assise dans la cabine dédiée au sous-sol, pas convaincue.

Ni même dans la bien plus confortable mini salle de cinéma …

La « bête » est censée égaler la sensation d’une vraie salle de cinéma. « Totalement immergé », le sujet est supposé ressentir l’effet d’être installé à 20 mètres d’un écran de 20 mètres de large … euh … en indécrottable cinéphile, je peux affirmer qu’on est quand même assez loin du compte.

Si je conviens que l’immersion dans un jeu vidéo m’interpelle d’avantage … et que la qualité des images vidéo est excellente,

je continue de préférer « l’immersion en salle » façon la Géode, par exemple … l’effet Imax … est tout de même plus prenant …

En même temps, ce sont les propos d’une spectatrice qui n’a jamais eu de Home Cinéma.

J’interroge mes voisins. Pas convaincus non plus. « … fait un peu mal aux yeux » me dit-on, avant de me confier la manette. Peut-être juste mal installé… L’objet m’apparaît nettement en dessous de la promesse faîte dans la pub. Et du slogan « Pour la première fois, la Réalité dépasse la Fiction ».

Je me refuse à en rester là. J’insiste auprès d’une vendeuse plus affable que ses compères. Elle me dirige vers une jeune démonstratrice, charmante, mais peu loquace en matière technique. Je vais devoir me rabattre sur le site internet pour les précisions d’ordre technologique. Pas vraiment grave.

Elle me propose obligeamment de laisser mes impressions. Je consens avec bonheur à remplir son petit questionnaire. « Si ça peut aider » … En lui glissant au passage ma frustration de ne pas voir le fauteuil de la pub livré avec le casque. Nous nous quittons avec le sourire. C’est toujours ça.

A la question « combien serais-je prête à débourser pour acquérir le « trésor » ? » … je choisis le montant minimum … en tous cas pas les 800 euros auxquels il sera vendu dès ce mois-ci !

Mais en même temps … j’ai même pas encore d’écran plat à la maison … Et puis j’étais peut-être dans un mauvais jour … Je n’en dégoûterai pas les autres.

Allez vous faire votre propre idée. C’est gratuit. Et jusqu’au 25 novembre il y a même un concours ! C’est fun, ça !

Invitée à représenter la fameuse « ménagère de moins de cinquante ans » pour la nouvelle émission de France 4 Touche pas à mon Poste , il y a quelques semaines de cela, je me faisais une joie d’être votre ambassadrice. Hélas, je n’ai pas été retenue pour la première. (En dépit de ma « fabuleuse prestation » au cours de l’enregistrement du pilote). Un peu déçue mais pas rancunière au vu des difficultés qu’a éprouvé la production m’a-t-on dit, vis-à-vis de la rubrique en question, je vous invite à faire bon accueil à cette version divertissement de Médias le magazine, de Thomas Hugues (plus sérieux de prime abord, sur France 5, le dimanche midi).

Touche pas à mon Poste : un retour aux sources sans nostalgie

Présentée par un Cyril Hanouna en grande forme, le jeudi soir à 22h40, à partir du premier avril, l’émission décrypte elle aussi la télé, mais de manière plus ludique, dans un show « à la Ruquier » avec chroniqueurs à l’humour cinglant et quelques images d’archives. Le premier d’entre eux à se faire connaître est Jean Claude Bourret qui annonce ainsi son grand retour sur le petit écran.

Difficile en revanche, de donner la parole aux téléspectateurs semble-t-il et la rubrique dans laquelle j’aurais dû m’illustrer, qui mettait face à l’invité une émissaire appartenant à la « nébuleuse audience », est remplacée par une autre qui devrait si j’ai bien compris permettre au public de poser ses questions à l’invité par l’intermédiaire de Télé 7 Jours, partenaire. Dès le 8 avril Denis Brogniart, animateur de Koh Lanta invité de cette date, pourra répondre aux questions que vous lui aurez envoyées à courrier.t7j@lagardere-active.com.

Si vous en avez, c’est le moment !

Quant à moi, je garde un souvenir ravi de cet enregistrement ! Le Pilote est ainsi nommé car l’émission, destinée aux réglages divers n’est en général, jamais diffusée à l’écran. Elle permet d’évaluer tous les paramètres et d’optimiser les conditions d’enregistrement des futurs numéros, de remettre en question les choix initiaux (à mon plus grand regret, cette fois-ci), de positionner chacun au mieux, de s’entraîner enfin en vue de la première.

Une sorte de « répétition générale » en somme, à laquelle j’ai eu le privilège de participer. Je me suis bien amusée, moi qui adore être en coulisses ! Quel délicieux moment que les quelques minutes passées en plateau parmi les chroniqueurs et face à l’invité, ce jour-là Samuel Etienne, pour mon plus grand bonheur !

L’atmosphère enjouée, en dépit des enjeux (il s’agit tout de même d’une très sérieuse séance de travail) a finalement eu raison de mon trac et je suis même allée jusqu’à me lâcher totalement en demandant en mariage le charmant journaliste, qui anime sur France 4 le magazine Question de Génération . Il s’agissait là, de lui faire comprendre que sa qualité (parfois évoquée comme un défaut par ses détracteurs) de « gendre idéal » me touchait au point non pas de lui offrir la main de ma fille mais bien la mienne !

Convaincu décidemment que « la ménagère » avait bien changé, l’équipe s’est amusé de mes réflexions sur la Télé réalité et a écouté avec intérêt ma position sur la publicité et le mépris dans lequel se sentait parfois tenu le téléspectateur par les patrons de chaînes…

J’ai affirmé haut et fort que nombre d’entre nous n’avaient pas du tout apprécié la fameuse « sortie de P. Lelay » sur « le temps de cerveau disponible pour Coca Cola ». Personnellement, la Pub, je la zappe régulièrement. Elle n’a jamais eu autant d’intérêt pour moi que lors de l’émission de Christian Blachas et Anne Magnien, sur la 6 Culture Pub. Un public de plus en plus avisé

Je tiens donc à remercier toute l’équipe de m’avoir invitée à participer à cette émission. Au moins une fois. Même si je ne passerai pas à la Télé !

Elle est tout à fait du genre qui retient mon attention. Parce que j’ai toujours rêvé de pouvoir donner mon avis sur ce qui se passe à l’intérieur de la petite lucarne… Je fais partie, comme vous, de cette « majorité silencieuse » que ça démange de participer aux débats qu’elle écoute et qui se heurte souvent à des standards saturés.

Si la part du téléspectateur devient de plus en plus active, il est vraiment temps que la Télé d’aujourd’hui se mette à l’écoute de son public. C’est un média extraordinaire et si j’ai fait acte de candidature pour nous représenter, c’est bien parce que j’aime la Télé. Tout d’abord, parce que j’ai grandi avec. Et que je l’ai vu grandir avec moi. En fait elle n’est pas bien plus vielle que moi si on se réfère à « son ère moderne » … je veux dire que les « années pionniers » de la clique des Pierre, de Desgraupes à Tchernia, en passant par Lazareff et leurs héritiers directs, ça fait partie d’un peu avant ma naissance, mais que j’ai eu la chance d’être élevée à ce petit lait tout de même.

Parce qu’on avait beau pas être riches, c’est un investissement que mes parents ont fait dès que les premiers postes sont apparus … parce qu’ils ont eu tout se suite conscience de l’impact que cela aurait sur les générations futures … ils ont vraiment compris que c’était un outil formidable … du coup c’est toujours comme ça que je l’ai conçue, moi-même … comme un outil … et aujourd’hui, il faut l’avouer elle subit une forte concurrence avec les nouveaux médias … Et c’est très intéressant.

Des émissions comme PopCom , ou Médias le mag, et aujourd’hui Touche pas … donnent de temps à autre un petit coup d’époussetage sur ce meuble qui trône dans nos salons, nos chambres à coucher, nos cuisines … et s’il l’on en croit les prévisionnistes de Télé 7 Jours dans son excellent numéro Cinquante ans avec vous ! qui vient de paraître (et restera en kiosque un peu plus longtemps qu’à l’accoutumée)… tout partout !

C’est intéressant de prendre ainsi de temps en temps le pouls d’une population définitivement accroc à la technologie. Et de prendre la mesure des besoins ainsi engendrés … évidemment, on devine qu’il ne s’agit pas là de véritable altruisme. Et on feindra de croire que les gens qui font du business avec la Télé s’intéressent vraiment à ce qu’en pensent « leur clients » … tant qu’on aura au travers de cette fenêtre ouverte sur le monde, un accès facilité à une connaissance qu’il nous aurait été si difficile d’atteindre autrement.

C’est vrai, la Télé, il faut en prendre et en laisser … Il y a des programmes pour tous les goûts ! A nous de nous montrer assez intelligents pour en tirer le meilleur.

Bon vent en tous cas à cette émission qui mêle divertissement et réflexion ludique, c’est de mon point de vue la manière la plus agréable, si ce n’est la plus maligne de donner au spectateur sa part d’acteur dans ce monde fait d’illusions.